ANR : Pour commencer, on sait que le groupe a été créé durant le confinement, comme vous n’aviez rien d’autre à foutre. Je suppose que c’est par rapport à la création du groupe, donc Jacou, c’est quoi cette story que tu as faite sur insta par rapport à un fameux coup de fil ?
Jacou : Alors justement, quand on a commencé à mettre en branle cette affaire, on s’est dit tiens, on va faire quelque chose de sérieux avec ce morceau. Il a fallu réfléchir à pas mal de choses et la première était, si on veut faire un truc sérieux, il va bien falloir produire ce morceau. Et il se trouve que HK est un excellent producteur de chansons.
Renato : Et un excellent ami !
Jacou : Et un très bon ami en effet, donc je lui ai dit « Tiens, vu qu’on a un peu rien à foutre en ce moment, il se passe ça, qu’est-ce que t’en penses et est-ce que tu veux éventuellement en être et produire l’affaire ? ». Voilà, c’était ce coup de fil-là qui à la base était; «Comme on n’a rien à faire, faisons un truc pour se marrer» et qui trois ans plus tard, donne un groupe qui sort un album et pas pour se marrer ! Si, quand même un peu !
ANR : Il était un peu réticent au début ou pas ?
Jacou : Même pas ! Bon, il ne dit pas oui à tout non plus, c’est pas parce qu’on est potes que… Donc il m’a dit : « oui, c’est quoi ? » Et je lui ai répondu : « Je viens d’avoir Sylvain, le bassiste de Sidilarsen au téléphone, il m’a envoyé des fichiers sur une chanson à bosser. Pour l’instant je vais bosser dessus car je la trouve cool, y a Baptiste des Smash Hit Combo qui est dessus, il va falloir qu’on monte une team et qu’on sorte un morceau cool, quoi. » Et, à la base, ce n’était que ça. Du coup il a participé également au recrutement des bonnes personnes pour finaliser ce titre et surtout, après, il s’est tapé une grosse part d’arrangements, de mixage, de récupération de fichiers aussi, car vu qu’on était tous enfermés, fallait bien qu’on arrive à s’envoyer les choses, tu vois. À ce moment-là, on ne pensait pas que ça allait quand même radicalement changer notre vie. Donc voilà le pourquoi de cette story.
Renato : C’est beau… C’est super beau !
ANR : Si je ne me trompe vous avez sorti trois singles, deux en 2020 et un en 2021. Puis vous avez joué au Hellfest. Est-ce que un an après avoir joué au Hellfest en 2022. Presque un an plus tard, pensez-vous que ça ai changé beaucoup de choses pour vous ?
Renato : Alors, ça a forcément changé quelque chose. Déjà ça nous a donné une visibilité incroyable. Surtout quand t’as trois singles que tu sors de nulle part… Enfin, les gens ne sortent pas de nulle part, mais le groupe, en tout cas, oui. Donc, quand tu vas jouer là-bas, dans notre cas, déjà tu flippes de te planter. Car, quand t’as fait tout un tintouin pendant un an à sortir trois singles et à faire «Les gars vous allez voir ça va être super !», quand t’arrives sur le plateau, même si tu sais faire le boulot car tu le fais depuis vingt ans, bah je peux te dire que t’as quand même les miquettes à zéro! Déjà, ne serait-ce que pour ne pas décevoir les pros et pour savoir si le public va accueillir ta musique d’une bonne manière, quoi. Et ça a été le cas, donc c’est cool. Donc oui, ça nous a apporté de la crédibilité tout de suite. Tu vois, là, on est déjà bookés avant même d’avoir sorti l’album, on a déjà plein de dates programmées. Et c’est bien car des gens nous ont vus jouer et qu’ils savent sur quoi ils investissent.
ANR : Et vous perso ? Est-ce que ça a changé quelque chose pour vous perso ?
Jacou : C’est complètement fou…. C’était un pari osé pour nous ET pour le Hellfest. Pour la petite anecdote, quand cette date a été signée, je ne penses pas trop dire de bêtise en disant qu’on avait que trois morceaux . On commençait à se dire « Tiens, est-ce qu’on ne ferait pas un disque ? » Et en fait, juste derrière HK nous a dit : « Bah les gars, de toute façon il va falloir passer la seconde car j’ai votre première date. », on a répondu « Oui, ok sympa » et il nous sort : « Vous allez faire un Hellfest », ce qui nous a bien fait rigoler et on lui a demandé, non, mais sérieusement ? « Bah vous allez faire un Hellfest. Vous avez un créneau à l’ouverture de l’Altar, donc maintenant vous n’avez plus le choix. ». Ça n’a fait qu’accélérer le processus, car tu connais les musiciens, entre le on-va-le-faire et le on-est-en-train-de-le-faire, il peut se passer du temps. Et là, bah le temps, on ne l’a plus, donc faut y aller.
Renato : Alors perso, puisque c’était le début de ta question, c’est surtout qu’on a envie de le refaire maintenant qu’on est rodés. En fait là maintenant on a envie de se faire une mainstage mec, et de l’éclater comme jamais ! Car en fait maintenant, cette petite demie-heure à 10 heure du mat, c’était juste un apéro !
Jacou : Un bel apéro !
Renato : Un bel apéro où on a rameuté toute la tente, ça fait bien plaisir !
ANR: Concernant votre album, vous vous en êtes occupés au Vamacara Studio, donc chez et avec HK, Stef (Buriez) était là également ?
Renato : Pas à l’enregistrement. Stef nous a beaucoup aidés lors de la première résidence qu’on a faite, il était avec nous toute la semaine. Il nous a bien drivés sur la scéno et les attitudes à avoir, et sur ce qu’il ne fallait surtout pas faire et que l’on faisait dans nos groupes respectifs, mais qui ne fonctionnait pas là pour DDC. C’est là que Stef a été très important, mais pour l’enregistrement c’était vraiment HK le maître du navire.
ANR : Et comment ça s’est passé ?
Renato : Ça s’est passé de la meilleure des manières. Toujours très bien. En fait on était dans le stress de se dire « Est-ce qu’il va nous repousser dans nos retranchement et est-ce que ça sera désagréable à vivre? ». Et en fait, il nous a poussés dans nos retranchements mais ce n’était pas désagréable à vivre. En plus on n’était pas tous là, mais il y avait un maximum de gars de l’équipe et on se soutenait de ouf. Tu vois, quand c’était le tour de quelqu’un, on était tous derrière lui, on savait exactement ce qu’il était en train de faire, ce qu’il ne fallait pas qu’il fasse et ce qui était génial quand il venait de le pondre. Donc non non, ça s’est vraiment passé extrêmement bien, et puis le Vamacara Studio c’est la maison pour nous maintenant, tu sais.
Jacou : Bah on l’a un peu inauguré en un sens.
Renato : En plus ouais, enfin, sa nouvelle mouture.
ANR : Comment ça vous l’avez inauguré ?
Jacou : En fait HK était sur Clisson avant et il a déménagé du côté de Chartres pour pouvoir perfectionner son studio. À Clisson il n’avait que sa régie pour mixer et il allait faire ses prises dans d’autres studios car il n’avait pas l’endroit pour le faire. Il a donc pris la décision de déménager en grande partie pour ça, pour pouvoir monter son studio comme il l’entendait, et surtout avoir sa salle de prise, avec, comme on dit dans le jargon, sa room. La room c’est la réverbe que t’apporte la pièce et qui est assez essentielle pour donner un caractère à ton enregistrement. Il a énormément travaillé ce côté là, bah d’ailleurs entre autre avec Stef. Je sais pas avec qui d’autre, mais il a aussi bossé avec des acousticiens pour avoir le résultat qu’il voulait. Et donc en fait, quand il a déménagé et qu’il a ouvert ce studio-là, je crois que les premières prises de batterie qu’il a faites sont celles de notre album. Il s’est rendu compte la veille, en faisant un test, que la batterie faisait encore énormément de bruit dehors; quand on est arrivés, il était encore en train de poser des plaques de placo pour ne pas se faire taper par ses voisins.
Renato : Et aujourd’hui, vu qu’on y était hier, on peut te dire que sa room est incroyable !
ANR : Et il n’est pas venu aujourd’hui ?
Renato : HK ? Non, là il est avec les Loco Muerte !
ANR : Alors Renato, t’es prof de chant dans une chorale rock…
Renato : Non, je suis chef de chœurs. Je n’apprends pas aux gens à chanter, je les fais juste chanter en chœurs.
ANR : OK, donc ça, plus quelques groupes, Jacou et les autres aussi… Niveau agenda, c’est pas trop chiant pour vous organiser avec tous les bordels que vous avez ?
Déhá : Mais non, on y arrive, il faut juste qu’on s’organise bien. Tu sais, à un moment donné…
ANR : Mais justement c’est ça le souci ! Comme j’en connais certains et j’entends « Il faut qu’on s’organise », ne le prenez pas mal les gars… mais j’ai du mal à concevoir
Déhá : Ah ah ah ! Nan mais t’inquiètes, on a tous galéré au départ. Mais à un moment, tu te sors les doigts du cul, tu t’organise et tu fais ça bien.
Renato : En fait c’est soit on avait vraiment envie de pousser ce projet jusqu’au bout, et on s’organisait correctement en fonction de nos groupes et de nos agendas… Et même dans la manière de faire avancer le groupe, tu vois. De gérer les réseaux, la logistique du groupe, car c’est nous qui gérons tout ça aussi. Donc on s’est vraiment concentrés sur ce groupe en se disant « On va tout bien faire ». Bon, y a toujours HK qui chapeaute le tout, car oui, on est quand même des musiciens, on est quand même des cons tu vois, et, à un moment, y a des trucs qui partent à droite et à gauche et on zappe des choses. Mais il y a toujours un garde-fou qui est en haut et qui tire la sonnette quand ça ne va pas. Donc oui, tout est une histoire d’organisation, au millimètre je ne te le cache pas, mais on y arrive très bien.
ANR : OK, bah chapeau…
Renato : Et bottes de cuir…
Rire en chœurs…
ANR : Est-ce que vous pouvez m’expliquer de quoi parle cet album ?
Déhá : Il parle principalement d’émotions. C’est un album très très très émotionnel, assez blindé d’espoir. Certaines chansons un peu moins, et d’autres un peu plus. Forcément, vu que le projet s’est formé durant le Covid, y a le côté enfermement, que ce soit physique, humain ou moral, pareil, sur les premiers singles tu ressors forcément ça. D’un autre côté, on a voulu aller un peu plus loin et, autant moi c’est mon exercice dans mes autres projets de m’exprimer et d’utiliser la catharsis à travers la musique, autant pour Renato par exemple c’est très difficile. Enfin, pas « très difficile » mais il ne l’a jamais fait… De parler de soi.
Renato : Tout à fait
Déhá : Donc on est arrivés à une espèce de mélange où on a créé une chanson sur laquelle j’ai écrit les paroles mais ça parle de lui; inversement, sur une autre chanson, il a écrit les paroles mais ça parle de moi. Finalement, ça parle de nous, nos émotions…
Renato : Cet album est vraiment introspectif de ouf.Ce que j’aime bien dire d’habitude c’est que dans tous mes autres groupes, je fabrique des histoires, je pars d’un fait réel puis je brode. Dans celui-ci, on ne ment pas, on parle vraiment de nous, Déhá parle de lui, je parle de moi, on parle de l’un et l’autre, de DDC et comment ça a été créé. De ce délire d’enfermement du confinement. Pas l’enfermement au sens premier, mais l’enfermement psychologique, le fait de ne pas être bien à cause de tout ça. On est allés puiser au fond de nous-mêmes pour être les plus sincères possibles. Dans ces paroles, chaque putain de mot est putain de sincère.
ANR : En partant sur ce principe, vous ne pensez pas que ça va s’user à un moment ?
Déhá & Renato : On parle de celui là, les autres on verra…. Chaque album est différent…
ANR : Vous avez déjà des idées pour un prochain ?
Déhá & Renato : Ouuuiiii !!! On est déjà sur le deuxième tu penses bien
ANR : Ah ces putain d’artistes, ça fuse toujours dans vos têtes !
Donc Renato, la dernière fois tu as posté une vidéo, t’étais tout fou d’avoir les nouveaux T-shirts, on aurait dit un petit garnement devant son sapin de Noël!
Renato : Tu sais, en fait, je suis facilement un petit garnement ! Et je m’émerveille facilement de peu de choses, et, là, c’était pas peu de choses pour moi.
ANR : Pour le coup, côté financier, musicalement, comment ça se passe maintenant ? Car mine de rien, les ventes d’albums c’est plus trop ça….
Renato : Non, surtout qu’il n’est même pas sorti, donc il n’y a aucune rentrée d’argent. C’est simple, il a fallu investir, certain bien plus que d’autres. Il nous a fallu un pécule de départ, car de toute manière quand t’enregistres un album, que tu veux faire du merch et que tu veux créer une scéno, bah tout ça, ça coûte du pognon, alors on a clairement fait un pari sur nos gueules. Pas mal d’argent est sorti, pas mal d’argent commence à rentrer – ça ça fait plaisir. Ceux qui ont investi au maximum vont bientôt commencer à récupérer on espère. C’est un pari jusqu’au bout ce groupe; on a parié sur notre musique, on a parié sur notre image et on est obligés de parier financièrement aussi. C’est ce qu’on a fait et on espère vraiment qu’on ne va pas se planter !
ANR : Et pour l’instant, vous vous en tirez pas trop mal ou ça galère ?
Jacou : Pour l’instant c’est la GUERRE ! Pour commencer on n’a même pas encore de Cds à vendre…
Renato : Déjà, les concerts arrivent à nous faire vivre, car on est payés correctement. Pour le reste, il va falloir en vendre du merch ! Ce beau merch dont j’étais content comme un petit garnement comme tu dis ! Va falloir en vendre un max, mais ça part bien. Les deux premiers concerts qu’on a donnés, c’est bien parti.
ANR : Pour en revenir à l’album, quels sont vos titres préférés ?
Jacou en chantonnant : Underneath the sound….
Renato en chantonant : Underneath the sound….
Déhá en chantonnant : Moi j’ai tout l’album….
[Rires]
Déhá : Non sérieusement, ça dépend de mes humeurs, mais sinon, « Underneath the sound » aussi. Y a un truc avec ce morceau.
Renato : Oui, y a un truc avec ce morceau; il ouvre le CD, il ouvre nos concerts, il est écrit d’une manière qui n’est pas classique, il a une évolution particulière qui, moi, me plaît de ouf. Puis la couleur qu’il a, il attaque par du chant a capella, t’as tous les éléments qui arrivent petit à petit jusqu’à faire monter la pression… On adore ce titre en fait.
Jacou : Je vais peut-être dire une bêtise, mais il me semble que, si ce n’est pas le premier, c’est certainement le deuxième morceau qui était abouti après les trois singles. Quand je refais un peu la chronologie, quand il y a eu l’annonce de ce Hellfest potentiel (2021), qui au final ne s’est pas fait car c’était encore une année de recul, tu vois, ça nous a mis ce coup de stress, on s’est dit qu’il fallait faire de la musique -et pas que- faire quelque chose de bien. On a vite planché sur celui-là et je me rappelle sincèrement, à la fin du taf, quand tout le monde est passé sur le morceau et qu’on a écouté la pré-prod terminée, de l’avoir écouté deux ou trois fois et de me dire « Il se passe quelque chose d’un peu fou »… là je parle purement pour moi, mais en fait je me suis dit « C’est pas nous qui avons fait ça ». Puis le remettre et… ah bah si, c’est nous… J’ai vraiment été pris d’une émotion que je n’avais jamais ressentie dans une création musicale. Sincèrement. Après tu te dis « Est-ce que ça va être pareil pour tout le monde » c’est autre chose… Mais si j’avais une to do liste avant de mourir, ça serait un des trucs à rayer.
ANR : Un titre comme « What I’ve Learnt »…
Renato : POURQUOI ????? Ah ah ah ah !
ANR : Franchement… Vous ne trouvez pas que sur certains passages vocaux, ça fait beaucoup trop rap ??????
Tous ensemble : Tellement ! Mais c’est carrément le but !!!!
ANR : Mais pourquoi, les gars ??????
Déhá : Parce qu’on n’est pas que des gros metalleux à rangers, on aime aussi… plein d’autres choses.
ANR : Toi tu sors, t’es viré !
Renato : Mec, on a un black metalleux qui fait du hip hop, tu vois. À un moment, si tu ne laisse pas la part belle à ce truc qui n’existe nulle part ailleurs, bah t’es un con !
ANR : Ok, alors je sais que l’erreur est humaine, mais pourquoi à ce point-là ?
[Rires]
Déhá : Principalement, pour vraiment répondre: c’est parce que j’ai grandi avec la culture hip hop et le rap, donc Rythm And Poetry. Pour moi ça a été une manière de comprendre une espèce de journalisme de rue qui m’a beaucoup parlé. J’ai aussi compris à travers ça, en lisant à travers les lignes, que c’est aussi une manière de raconter des émotions et des choses qui, à la base sont plus importantes que la musique. Après, à un moment donné, le rap c’est aussi la musique qui va derrière… Le truc, c’est que en mélangeant la manière dont selon moi c’est dit, le travail à faire sur un texte pour qu’il y ait des rimes, pour qu’elles soient bien faites, pour que le message soit là, pour que les textes soient beaux et que ce ne soit pas juste une suite de métaphores un peu chiantes ou de l’itération ultra chiante qui à un moment donné donne « Regarde, je fais du rap technique » c’est pas ça du tout. Je voulais retourner dans cette vieille école du rap et ressortir ce genre de choses. Pour moi, ça a sa place dans DropDead, c’est aussi une petite identité en plus dans le groupe. Le rap, je peux te le raper, je peux te le gueuler. Je n’ai aucun problème à faire les deux et c’est là où justement suivant ce que je veux faire ressortir comme émotions, grâce au rap, que je le gueule ou pas. Parce que, bon, Slipknot, certaines chansons, il déblatère tellement vite que c’est du rap. Et, pardonne-moi, tu vas certainement m’en vouloir, mais certaines chansons de Slayer sont tellement rapides, que c’est du rap… Et c’est en rimes !
ANR : Mais je ne t’en voudrai pas, je suis d’accord…
Renato : ET BAH ALORS ???!!!
ANR : Bah j’aime pas Slipknot ni Slayer….
Renato : Hé, le mec, il appuie là !!!!!
ANR : Par contre, j’ai trouvé que ça sonnai rap, fin 80. Pas 90, mais vraiment fin 80
Déhá : Voilà, totalement
ANR : Le seul rap que je pouvais trouver à peu près potable…
Renato : Bah tu vois, qu’est-ce que tu nous fais chier alors ??? Ah ah ah ah !
Déhá & Jacou : rire
ANR : Le seul rap que j’ai pu vraiment très vaguement apprécier, c’est Assassin, Public Enemy
Renato : Bah voilà ! Ah ah ah ah !
ANR : Sinon vous avez d’autres clips en prévision ?
Renato : Oui Monsieur, le prochain sort le jour de l’album ! Le 7 avril
ANR : C’est quoi ?
Tous ensemble en chantonnant : C’est « Underneath the Sound »
Renato : En plus celui-ci est un peu particulier car il n’y a pas de musiciens dessus. Il n’y a que Déhá et moi. On s’est dit qu’il allait dégager les classiques du metal, et là, ça n’a rien à voir, y a juste deux univers différents qui ont été traités à la caméra et c’est tout.
Jacou : Bah viens le 6 avril au Feelgood, il sera diffusé pour la release et on sera là !
ANR : Ok, si vous êtes là, je viens! Allez, c’est fini, vous avez quelque chose à ajouter ?
Jacou & Renato : Merci ASK !!! Sinon c’est tout !
ANR: Merci à vous les gars!